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6 Judgments of Paris

1. Courbet's involvement with the Colonne Vendôme is a long and complicated tale. In September 1870, as president of the Société des Artistes, he called upon Parisians to "dismantle" or "unbolt" the column (the much discussed neologism deboulonner was crucial to fixing the extent of Courbet's responsibility for the eventual destruction). At the time that the Commune officially decreed the "demolition" of the column, on 12 April 1871, Courbet was not a member of the Commune (he was elected 16 April). But the connection between Courbet and the column was strong, as the caricatures in the press at the time confirm. [BACK]

2 . Journal Officiel, (13 April 1871), cited by Walter, Gazette des Beaux-Arts, 177. [BACK]

3. Almost a half century before Quatrevingt-treize, this promiscuous association of symbols from across the political spectrum already resorts to one of Hugo's favorite rhetorical strategies, that is, the creation of a vast synthesis from ideological contraries. Hugo wrote "A la Colonne de la Place Vendôme" in response to a diplomatic incident when four members of the imperial aristocracy were announced at an Austrian reception without the titles that had been conferred by Napoléon. Hugo, whose own title of count derived from his father's imperial title, rushed to defend national honor.

O Monument vengeur! Trophée indélébile!
Bronze qui, tournoyant sur ta base immobile,
Sembles porter au ciel ta gloire et ton néant;
Et, de tout ce qu'a fait une main colossale,
Seul es resté debout;—ruine triomphale
     De l'édifice du géant.
Debris du Grand Empire et de la Grande Armée,
Colonne d'où si haut parle la renommée!
Je t'aime: I'étranger t'admire avec effroi.
J'aime tes vieux héros, sculptés par la Victoire;

     Et tous ces fantômes de gloire
     Qui se pressent autour de toi.
. . . .
Que de fois j'ai cru voir, ô Colonne française
Ton Airain ennemi rugir dans la fournaise!
. . . .
Prenez garde!—La France, où grandit un autre âge,
N'est pas si morte encor qu'elle souffre un outrage!
Les partis pour un temps voileront leur tableau.
Contre une injure ici tout s'unit, tout se lève,
Tout s'arme, et la Vendée aiguisera son glaive
     Sur la pierre de Waterlo.
. . . .
Allez!—Vous n'avez plus l'Aigle qui de son aire
Sur tous les fronts trop hauts portait votre tonnerre;
Mais il vous reste encor l'oriflamme et les lis.
Mais c'est le Coq gaulois qui réveille le monde;
Et son cri peut promettre à votre nuit profonde
     L'aube du soleil d'Austerlitz.
. . . .
Non, Frères! non, Francais de cet âge d'attente!
Nous avons tous grandi sur le seuil de la tente.
Condamnés à la paix, aiglons bannis des cieux,
Sachons du moins, veillant aux gloires paternelles,
Garder de tout affront, jalouses sentinelles,
     L'armure de nos aïeux!

Hugo, Odes et Ballades, 4th ed. (1828), in Oeuvres complètes (Paris: Laffont, 1985), (bk. 3) 4:189-94. Hugo came back to the column in 1830, in a hymn more to Napoléon than to France: "Ce bronze devant qui tout n'est que poudre et sable, / Sublime monument, deux fois impérissable, / Fait de gloire et d'airain"; "A la Colonne," Les Chants du crépuscule ( 1835 ) in Oeuvres complètes 4:691-98. [BACK]

4. Marie-Claire Bancquart, Images littéraires du Paris fin-de-siècle (Paris: Aux Éditions de la Différence, 1979). This work is indispensable for any consideration of the larger context of the literature of fin-de-siècle Paris. Citations to Zola's work will be to the following editions: La Débâcle, ed. Henri Mitterand (Paris: Gallimard-Folio, 1984); Le Docteur Pascal (Paris: Garnier-Flammarion, 1975); Son Excellence Eugène Rougon (Paris: Garnier-Flammarion, 1973); Paris (Paris: Charpentier-Fasquelle, 1898); La Vérité en marche (Paris: Garnier-Flammarion, 1969). For Paris in particular, I shall give lengthy citations in the notes, the only means of confirming the extraordinary metaphorical structure of the novel. [BACK]

5. See Sandy Petrey, "La République de La Débâcle," Cahiers naturalistes 54 (1980):87-95. [BACK]

6. The connections between La Curée (1872) and Son Excellence Eugène Rougon (1876) go beyond the two brothers who are the protagonists, beyond the society whose corruption both novels denounce at such length. The later novel exemplifies to perfection the curée, understood as the rush for political spoils. In addition, an actual hunt (chap. 7) ends with the hounds voraciously devouring the entrails of the deer in a striking actualization of the constitutive metaphor of La Curée. "Et, en bas, les chiens achevaient leurs os. Ils se coulaient furieusement les un sous les autres, pour arriver au milieu du tas. C'était une nappe d'échines mouvantes. . . . Les mâchoires se hâtaient, mangeaient vite, avec la fièvre de tout manger. De courtes querelles se terminaient par un hurlement. Un gros braque, une bête superbe, fâché d'être trop au bord, recula et s'élanca d'un bond au milieu de la bande. Il fit son trou, il but un lambeau des entrailles du cerf" (226-27). The scene is analogous to the tableau vivant near the end of La Curée (see chap. 4 supra), since it is a curée froide; that is, the final scene of the hunt is postponed until the evening, when all the guests can watch the hounds massed in the courtyard of the château throw themselves at the entrails on command. As in La Curée, imperial society sees itself on display. A final variation on la curée is the manhunt in Paris in the Bois de Boulogne, which ends with the capture and execution of the anarchist Salviat. [BACK]

7. From La Curée to La Débâcle Zola remains faithful to his representation of the city as a diseased individual who must die. Thus the following from La Débâcle for   Maurice: "des yeux . . . un peu fous parfois" (26), "tête affaiblie" (525), "nervosité ombrageuse" (531), ''fièvre grandissante" (532), "tête perdue'' (535), "exaltation" (536), "coup de démence" (537), "rêve fou" (542), "repris de folie" (561), son "grand rêve noir" (541, 580). Compare note 18, chap. 4 supra, the characterizations of Renée Saccard. Zola's preoccupation with disease is a constant in virtually all his work. [BACK]

8. Cf. "toute une crise de nervosité maladive . . . se déclarait, une épidémique fièvre" (523); "sa fièvre de désespoir" (527); "cette foule hallucinée" (528); "Paris, alcoolisé . . . tombait à une ivrognerie continue" (532); "les germes de folie . . . montaient de la foule," "cette population, détraquée" (533); le "coup de démence . . . emportait Paris entier, ce mal venu de loin" (537); "la crise aiguë du mal" (540); "le coup d'ivresse générale," "l'épidémie envahissante, la soûlerie chronique" (543); "Paris détruit, frappé de folie furieuse, s'incendiant lui-même" (554). [BACK]

9. From Guernsey, Hugo followed closely the discussions over the possible demolition of the Vendôme Column. Hearing of the vote of the Commune, he quickly writes "Les deux trophées," which, in Hugo's view, gave the column a few extra days (8 May 1871).

Versailles a la paroisse et Paris la commune;
Mais, sur eux, au-dessus de tous, la France est une
. . . .
Tous ces grands combattants, tournant sur ces spirales,
Peuplant les champs, les tours, les barques amirales,

Franchissant murs et ponts, fossés, fleuves, marais,
C'est la France montant à l'assaut du progrès.
"Les deux trophées," "Mai," L'Année terrible, in Oeuvres complètes 6:107-11 . [BACK]

10. Zola's promotion of the scientist as savior is part of a general shift in late nineteenth-century France. See Christophe Charle, Naissance des «intellectuels», 1880-1900 (Paris: Minuit, 1990), 28-38. [BACK]

11. "L'immense Paris . . . travaillait à l'avenir inconnu, dans le grondement de sa formidable cuve" (468); "Paris,. . . la cuve énorme où fermentait le vin de l'avenir" (473); "l'idée de la cuve géante . . . de la cuve ouverte là" (551); ''Paris, c'était la cuve énorme, où toute une humanité bouillait, la meilleure et la pire,. . . Et, dans cette cuve . . .'' (591); "Et tout cela bouillait dans la cuve colossale de Paris, les désirs, les violences, les volontés déchaînées, le mélange innomable des ferments les plus âcres, d'où sortirait à grands flots purs le vin de l'avenir" (592); "La lie humaine tombait au fond de la cuve" (593). For the romantics' use of this image and the move of the term from the alchemist's beaker to the vintner's vat, see Citron, La Poésie de Paris 2:99. [BACK]

12. Christopher Prendergast mentions in passing but does not elaborate the metonymical motivation of the metaphorical extension of the "underground" Paris motif. Paris and the Nineteenth Century (Oxford and Cambridge, Mass.: Blackwell, 1992), 82. [BACK]

13. "C'était, après deux mois de froid terrible, de neige et de glace, un Paris noyé sous un dégel morne et frissonnant. Du vaste ciel, couleur de plomb, tombait le deuil d'une brume épaisse" (1). [BACK]

14. "Il regarda Paris, dont la mer immense se déroulait à ses pieds" (1); "le brouillard qui changeait la grande ville en un océan de brume" (4); "l'océan de Paris, la mer sans bornes des toitures" (153); "la mer sans bornes" (164); "les monuments semblaient des navires à l'ancre, une escadre arrêtée en sa marche, dont la haute mâture luisait à l'adieu du soleil . . . cet océan humain . . ." (209); "Paris, c'est l'océan" (223); "les grandes vagues obscures, qui montaient de l'océan indistinct de la ville" (554); "on dirait des navires, toute une escadre innombrable . . . des milliers de vaisseaux d'or qui partent de l'océan de Paris, pour aller instruire et pacifier la terre" (407). The last example comes just after Pierre has put off his cassock and put on ordinary pants and a jacket. Clearly, Paris can fulfill its civilizing mission only when the Church has been repudiated. [BACK]

15. "Paris était ensemencé d'une poussière lumineuse, comme si quelque semeur invisible . . . eût jeté à main pleine ces volées de grains, dont le flot d'or s'abattait de toutes parts. L'immense champ défriché en était couvert, le chaos sans fin des toitures et des monuments n'était plus qu'une terre de labour, dont quelque charrue géante avait creusé les sillons. Et Pierre . . . se demanda si ce n'étaient pas là les bonnes semailles, Paris ensemencé de lumière par le divin soleil, pour la grande moisson future, cette moisson de vérité et de justice dont il désespérait" (164). [BACK]

16. In the final two pages of Chapter 1, book 4, of Paris, the metaphor is at the same time a marvelous description of the cityscape, very impressionistic in its effect. "C'était le même effet qu'il avait vu déjà, lors de sa première visite. Le soleil oblique, qui descendait derrière de minces nuages de pourpre, criblait la ville d'une grêle de rayons. . . . Et l'on aurait dit quelque semeur géant . . . , qui . . . lancait ces grains d'or, d'un bout de l'horizon à l'autre" (383). [BACK]

17. ". . . le soleil oblique noyant l'immensité de Paris d'une poussière d'or. Mais. cette fois, ce n'étaient plus les semailles, . . . ce n'était non plus la ville avec ses quartiers distincts. . . . Il semblait qu'une même poussée de vie, qu'une même floraison avait recouvert la ville entière, l'harmonisant, n'en faisant qu'un même champ sans bornes, couvert de la même fécondité. Du blé, du blé partout, un infini de blé dont la houle d'or roulait d'un bout de l'horizon à l'autre . . . et c'était bien la moisson, après les semailles. . . . Paris flambait, ensemencé de lumière par le divin soleil, roulant dans sa gloire la moisson future de vérité et de justice" (607-8). The tight metaphoric construction of this novel that can too easily be seen as merely repetitious shows in the way the dominant metaphor of the golden field plays off the traditional image of Paris-as-ocean ("the golden swell"). Americans will recognize the trope of the ''amber waves of grain" from "America the Beautiful" transposed to Parisian fields. [BACK]

18. "Si j'avais été dans un livre, je ne sais pas ce que j'aurais fait," reported in Joseph Reinach, Histoire de l'affaire Dreyfus 3:67, cited by Alain Pagès, É mile Zola: Un intellectuel dans l'affaire Dreyfus (Paris: Séguier, 1991), 31. The Pages work is indispensable for a balanced view of this critical phase of Zola's career. On the Dreyfus affair more generally, see Jean-Louis Bredin's superb L'Affaire (Paris: Julliard, 1983). Translated by Jeffrey Mehlman, under the title The Affair: The Case of Alfred Dreyfus (New York: George Braziller, 1986). On the mobilization of intellectuals, see pp. 275-85, "Logicians of the Absolute." [BACK]

19. Zola, "Lettre à M. Félix Faure" ("J'accuse"), in L'Affaire Dreyfus—La Vérité en marche (Paris: Garnier-Flammarion, 1969), 113-24. Further citations to "J'accuse" and to other writings by Zola concerning his participation in the Dreyfus affair will be to this edition and will be cited by page in the text. [BACK]

20. The public writer is discussed at length in Priscilla Parkhurst Clark, Literary France: The Making of a Culture (Berkeley: University of California Press, 1987). See especially chapter 6 (on Voltaire and Hugo) and chapter 7 (on Zola and Sartre). [BACK]

21. The basilica was built to fulfil a "vow" of national "expiation" for the "sins" that had brought the war and the Commune. See David Harvey, "Monument and Myth: The Building of the Basilica of the Sacred Heart," in Consciousness and the Urban Experience: Studies in the History and Theory of Capitalist Urbanization (Baltimore: Johns Hopkins, 1985), 221-49. [BACK]

22. See Barthes' essay, La  Tour Eiffel (Paris: Delpire, 1964). The essay, which features André Martin's tremendous photographs, was reissued in 1989 for the centennial by the Centre national de la photographie but is now out of print. [BACK]

23. "Nous venons, écrivains, sculpteurs, architectes, peintres, amateurs passionnés de la beauté jusqu'ici intacte de Paris, protester de toutes nos forces, de toute notre indignation, au nom du goût francais méconnu, au nom de l'art et de l'histoire francais menacés, contre l'érection, en plein coeur de notre capitale, de l'inutile et monstrueuse Tour Eiffel. La Ville de Paris va-t-elle . . . se déshonorer et s'enlaidir irréparablement? Car la Tour Eiffel, dont la commerciale Amérique elle-même ne voudrait pas, c'est, n'en doutez pas, le déshonneur de Paris." "Protestation des artistes," Le Temps, 14 February 1887, cited on the frontispiece of Barthes, La Tour Eiffel. Among the signatories were the established painters Ernest Meissonier and William Bouguereau; the composer Charles Gounod; Charles Garnier (the architect of the Paris Opéra); the writers François Coppée, Leconte de Lisle, Sully Prudhomme, Dumas fils (members or future members of the Académie française), and Maupassant. The "intact beauty" of Paris is a startling affirmation in view of the bitter polemics over Haussmann's extensive manipulation of the city barely thirty years previously. But Haussmann's Paris fit within a recognizable tradition of city planning. Construction of the Tour Montparnasse in the 1970s raised many of the same protests. [BACK]

24. "Faut-il renverser la Tour Eiffel?" in Revue mondiale, May-June 1929, cited by Henri Loyrette, in 1889—La Tour Eiffel et l'Exposition universelle (Paris: Éditions de la Réunion des Musées nationaux, 1989), 218. [BACK]

25. The emblematic text of this symbolic reconfiguration is surely Le Tour de France par deux enfants, originally published in 1877 with great numbers of printings; an edition with an epilogue was published in 1906. Two orphaned brothers from Lorraine, ages fourteen and seven, "choose France" in 1871 and travel across France in search of the uncle who will put their family papers in order and allow them to remain French legally. The adventures impress upon the boys not only the general civic virtues of economy, prudence, honesty, and hard work but also the supreme virtue of being French and the sublime duty of working to rebuild France—the subtitle of the book is Devoir et Patrie [ Duty and Fatherland ] . Le Tour de France par deux enfants teaches France. There is, of course, a visit to Paris, but it is only one site among many; and it is clear that the future of France lies in the land. The children are happy to leave the hustle and bustle of the city and finally settle on a farm located in the Beauce, the "breadbasket" of the country. Their diligence and intelligence bring the war-torn farm back to prosperity in a synecdochal projection of the country as a whole. The Revolution is safely locked up in the past. See Jacques and Mona Ozouf, "Le Tour de France par deux enfants—Le petit livre rouge de la République," in Les Lieux de mémoire: La République, ed. Pierre Nora (Paris: Gallimard, 1984), 1:291 - 321. Reflections of Le Tour's conception of a sort of a French geography destined to greatness flicker even today. See, for example, the final work of Fernand Braudel, L'Identité de la France I—Espace et histoire (Paris: Arthaud, 1986). [BACK]

26. "Il mito cadeva al benessere." Giovanni Macchia, II Mito de Parigi (Turin: Einaudi, 1962), 344. [BACK]


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